lundi 28 novembre 2011
Article : Angiolipome
Ceux-ci envahissent le tissu cellulo-adipeux (graisseux), ou contiennent du tissu adipeux.
Lire la suite de l'article Angiolipome : Examen m?dical
Article : Anti-inflammatoire
De façon générale, l'inflammation correspond à un ensemble de phénomènes survenant à un point d'irritation après l'invasion par un agent pathogène (susceptible d'engendrer une maladie). A la suite d'une agression constituée par une blessure, une infection ou un traumatisme consécutif à un acte chirurgical, il se crée dans l'organisme ce que l'on appelle une inflammation. Classiquement, une inflammation se manifeste par quatre signes principaux : rougeur, chaleur, tuméfaction (gonflement), douleur. Le mécanisme inflammatoire fait intervenir un grand nombre de substances présentes dans le sang, entre autres de nombreuses hormones, comme les prostaglandines, l'histamine, des compléments, les cytokines participent à l'inflammation.Lire la suite de l'article Anti-inflammatoire : Classification
jeudi 24 novembre 2011
l'association diuretique thiazidique/beta-bloquant en augmente le risque
Après respectivement 8 et 10 ans de suivi pour les femmes âgées et jeunes et 16 ans pour les hommes, 3.500 cas de diabète de type 2 ont été diagnostiqués.
Les chercheurs ont ainsi constaté que le risque de développer cette maladie dépendait des médicaments antihypertenseurs administrés. Plus précisément, les antihypertenseurs de la famille des diurétiques thazidiques et des bêta-bloquants sont apparus indépendamment liés au risque de diabète de type 2.
Avec un diurétique thiazidique, le risque a augmenté de 20% pour les femmes âgées, de 45% pour les femmes plus jeunes et de 36% pour les hommes. Avec un bêta-bloquant, il s'est accru de 32% chez les femmes âgées et de 20% chez les hommes.
Ces résultats confirment la mise en garde déjà émise par des spécialistes britanniques contre la co-prescription d'un diurétique thiazidique et d'un bêta-bloquant contre l'hypertension artérielle, qui risque d'entraîner un diabète.
En revanche, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC) ainsi que les inhibiteurs calciques ne semblent pas associés à un risque de diabète.
(Diabetes Care 2006, vol.29, n°5 : p.1065-1070)
dimanche 20 novembre 2011
Diabete : les dieteticiens au coeur de la prevention et du traitement
On sait désormais que c'est davantage le changement de mode de vie qui déclenche un diabète que le mode de vie lui-même
, souligne-t-il. "Plus la rupture est brutale plus le diabète se développe rapidement, plus une population était pauvre auparavant, plus l'arrivée de la richesse va entraîner de diabètes. C'est pourquoi, la France, où le mode de vie a changé de façon moins radicale, a un taux de diabétiques moins élevé que d'autres pays comme la Chine ou l'Inde qui ont connu une industrialisation très rapide", cite-t-il en exemple.
Selon lui, il est donc évident que la prévention du diabète passe par une meilleure éducation diététique, un renouveau du mode de vie pour lequel les diététiciens ont un rôle majeur à jouer.
Réunis au sein d'un groupe de travail, les diététiciens des différents sites du CHU de Bordeaux ont élaboré un programme spécifique, basé sur une démarche diététique individualisée (conseils alimentaires personnalisés, harmonisation des équivalences glucidiques, …).
"A travers l'édition de fiches pratiques et d'un cahier permettant aux patients de noter leurs objectifs nutritionnels, les diététiciens du CHU de Bordeaux recherchent non seulement une "simple" perte de poids mais aussi les bénéfices sur les anomalies lipidiques et l'hypertension artérielle, souvent associées au diabète de type 2", informe Florence Garuz, diététicienne (service de nutrition, diabétologie et maladies métaboliques au CHU de Bordeaux).
Dans les faits, l'atteinte d'un objectif pondéral strict est difficilement réalisable par des patients ne bénéficiant pas d'accompagnement diététique. "Avec ce programme spécifique, les diététiciens du CHU de Bordeaux réalisent une prise en charge adaptée, répondant au mode de vie actuelle et reposant sur l'éducation thérapeutique et l'autonomie des patients", relève-t-elle.
Créée en 1954, l'ADLF représente plus de 2.200 diététiciens de tous secteurs avec une éthique professionnelle formalisée par la Charte du diététicien et le Guide des bonnes pratiques de la profession de diététicien. Ses objectifs sont de fédérer et représenter tous les diététiciens, les affirmer comme acteurs de santé, professionnels en alimentation et nutrition et les accompagner dans l'évolution de leur profession.
Elle représente la profession au sein des principaux organismes professionnels nationaux, notamment la commission des diététiciens du Conseil Supérieur des Professions Paramédicales (CSPPM), l'Union nationale des professions libérales (UNAPL), le Comité National Alimentation et Nutrition des Etablissements de Santé ou bien encore l'Union Interprofessionnelle des Associations de Rééducateurs et Médico-techniques (UIPARM).
Avec ses 17 délégations régionales, l'ADLF est présente sur l'ensemble du territoire national afin d'assurer une concertation réelle de ses membres et s'assurer de la cohérence des actions engagées.
l'activite physique reguliere favoriserait le contre le glycemique chez les jeunes patients
L'activité physique est reconnue pour baisser de manière significative la glycémie chez les personnes en bonne santé mais son bénéfice chez les diabétiques reste controversé d'autant plus qu'une hypoglycémie secondaire est toujours redoutée.
L'équipe du Dr Antje Herbst, du département de pédiatrie de l'université de Bonn, en Allemagne, a analysé les données de 19.143 jeunes patients provenant de 179 centres de diabétologie allemands et autrichiens.
Les patients, tous atteints d'un diabète de type 1, étaient âgés de 3 à 20 ans. Ils ont été classés en trois catégories, selon la fréquence de leur activité physique : pas d'activité en dehors du sport à l'école ; une activité une à deux fois par semaine ; au moins trois fois par semaine.
Plus l'activité était fréquente, moins le taux d'hémoglobine glyquée (HbA1c) était élevé, chez les filles comme chez les garçons et à tous les âges.
Le taux moyen d'HbA1c était de 8,4% chez les enfants et adolescents ne faisant du sport qu'à l'école, contre 8,1% chez ceux pratiquant une activité physique au moins trois fois par semaine, soit une différence significative. Chez ces derniers, le taux moyen d'HbA1c était inférieur de 37% par rapport aux jeunes ayant une activité physique une à deux fois par semaine, qui présentaient eux-mêmes un taux de 30% inférieur par rapport à ceux ne faisant du sport qu'à l'école.
De plus, l'indice de masse corporelle (IMC, rapport du poids sur le carré de la taille) était corrélé à la fréquence d'activité chez les filles, mais pas chez les garçons.
"Autre détail important : il semble que pour le poids, la régularité de l'activité physique soit plus importante que la fréquence", poursuivent les auteurs.
Cette influence de l'exercice sur la baisse de l'IMC est intéressante "car à la puberté, les adolescents diabétiques de type 1 tendent à être en surpoids et les filles ont un risque plus élevé de prendre du poids que les garçons", rappellent les auteurs. "Nos résultats suggèrent que pour normaliser leur poids, les filles tirent un plus grand bénéfice de l'activité physique régulière que les garçons."
A l'inverse, aucun lien n'a été relevé entre l'activité physique et la fréquence d'une hypoglycémie sévère ou d'une hypoglycémie avec perte de conscience ou convulsion.
Hypocalcemie neonatale : vers une restriction du depistage chez les nouveau-nes dont la mere est diabetique
La recherche systématique d'une hypocalcémie chez les enfants nés de mères diabétiques pourrait s'avérer superflue chez les femmes ayant développé un diabète gestationnel mais ayant atteint un bon équilibre glycémique pendant leur grossesse, suggèrent les résultats d'une petite étude présentée au cours du congrès annuel de l'American Academy of Pediatrics (AAP), à Atlanta.
Un diabète bien équilibré pendant la grossesse permet de réduire le risque d'hypocalcémie néonatale (l'une des complications métaboliques potentielles d'un diabète pendant la grossesse). Dans la mesure où de nombreuses améliorations du contrôle glycémique ont été enregistrées au cours des dernières années, l'équipe du Dr Samrat Das, du Metropolitan Hospital Center à New York, a décidé de conduire une étude pour vérifier l'intérêt de la mesure systématique du taux de calcium sanguin des nouveau-nés.
Les chercheurs américains ont mesuré la calcémie 24 heures après la naissance chez 43 nouveau-nés dont les mères souffraient d'un diabète gestationnel et chez six bébés dont la mère était déjà diabétique avant la grossesse. Ils ont également passé en revue les profils de contrôle glycémique des mères pendant la grossesse, en s'attachant particulièrement aux résultats des tests de tolérance au glucose ainsi qu'à l'évolution du taux d'hémoglobine glyquée (HbA1c).
Un seul des bébés dont la mère avait développé un diabète gestationnel a présenté une hypocalcémie (soit 2,3% des cas), ont constaté les auteurs, qui précisent que l'analyse du profil de l'équilibre glycémique de cette femme a révélé un contrôle insuffisant de la glycémie pendant la période prénatale.
En revanche, deux des six nouveau-nés dont la mère souffrait déjà d'un diabète avant sa grossesse ont développé une hypocalcémie (soit 33%).
Pour les chercheurs américains, si ces résultats sont confirmés dans une nouvelle étude conduite à plus large échelle, il pourra être envisagé de limiter la recherche systématique d'une hypocalcémie néonatale aux enfants de mères déjà diabétiques avant la grossesse ainsi qu'à ceux nés de femmes ayant développé un diabète gestationnel qu'elles n'ont pas réussi à équilibrer
La consommation de cafe pourrait reduire le risque de diabete
Le pancréas des personnes atteintes de cette forme de diabète synthétise de l'insuline (hormone permettant de faire diminuer la glycémie) en quantités trop importantes, mais le corps du malade y est insensible. La glycémie reste donc élevée et ce taux trop élevé de sucre dans le sang peut conduire, à terme, à la cécité, à des troubles rénaux ou neurologiques, ou encore à des maladies cardiovasculaires.
Les auteurs, menés par le Dr Eduardo Salazar-Martinez, de l'Institut national de Santé publique de Cuernavaca (Mexique), ont voulu vérifier les conclusions d'une étude néerlandaise récente, qui indiquait que les gros consommateurs de café sont moins susceptibles de développer un diabète que ceux qui en boivent moins.
Pour cela, ils ont suivi près de 40.000 hommes entre 1986 et 1998, ainsi que plus de 84.000 femmes entre 1980 et 1998. Au moment de leur engagement, aucun des participants ne présentait de pathologie telle que diabète, cancer ou maladies cardiovasculaires.
Tous les deux à quatre ans, les participants devaient compléter des questionnaires destinés notamment à recueillir des informations concernant leur consommation de café, de café décaféiné et de boissons contenant de la caféine, mais aussi sur leur état de santé général.
Les auteurs ont pu constater l'apparition de 1.333 nouveaux cas de diabète chez les hommes et de 4.085 cas chez les femmes. L'analyse statistique des données recueillies a permis de mettre en évidence l'existence d'une relation inversement proportionnelle entre la consommation de café et le développement d'un diabète de type 2, en ajustant les résultats pour que d'autres facteurs de risque, comme l'âge ou l'indice de masse corporelle (IMC, rapport du poids sur le carré de la taille) n'interviennent pas.
En outre, cette relation a pu être observée tant chez les hommes que chez les femmes. Cependant cette étude ne permet pas pour autant d'assurer que seul le fait de boire du café explique cette réduction du risque de diabète. D'autres substances (minéraux comme le magnésium ou vitamines comme la vitamine E) également présentes dans le café pourraient expliquer cette situation.
De nouvelles études devront donc être mises en oeuvre pour explorer de façon plus détaillée l'influence de la caféine sur le métabolisme du sucre, notent les auteurs.
(Annals of Internal Medicine, 6 janvier 2004, vol. 140, n° 1, p. 1-8)
Article : Cetonurie
Le diabète se caractérise par un manque ou une mauvaise utilisation de l’insuline dans le sang, secondaire à un déficit de fabrication de cette hormone par le pancréas.
Cette maladie débute brutalement, et si elle n’est pas traitée, elle aboutit à une autre maladie appelée l’acidocétose.
De façon générale la cétose (le terme acidocétose est souvent utilisé comme synonyme) est le résultat de l'accumulation, à l'intérieur de l'organisme, de corps cétoniques qui sont des substances produites lors de la dégradation des graisses. La cétose s'observe quand l'organisme puise ses réserves énergétiques à l'intérieur des graisses en brûlant celles-ci au lieu d'utiliser le glucose c'est-à-dire le sucre qui est normalement sa source habituelle d'énergie. Il s'agit d'un phénomène qui se produit au cours du diabète quand l'organisme ne possède plus d'insuline qui lui permet habituellement d'aller puiser le glucose comme source d'énergie. Les acides gras interviennent à la place du sucre en libérant une grande quantité d'énergie mais aussi de corps cétoniques. C'est ainsi que la cétose s'observe essentiellement au cours de certains troubles digestifs ou de troubles hépatiques qui ne permettent pas d'utiliser le sucre. Le jeune entraîne également la survenue de cétose.
La cétose peut très bien rester asymptomatique c'est-à-dire n'entraîner l'apparition d'aucun symptôme chez le patient mais peut également provoquer une acidocétose c'est-à-dire les complications aiguës qui surviennent quand la quantité de corps cétoniques à l'intérieur du sang dépasse les capacités d'élimination de l'organisme. L’acidocétose est observée également lorsqu’il existe des vomissements importants et prolongés.
Pour les spécialistes l'acidocétose correspond à une élévation excessive de l’acidité du sang due à une accumulation d’éléments appelés corps cétoniques. Ces corps cétoniques sont des produits chimiques : l’acétone, l'acide bétaoxydobutyrique et l'acide diacétique.
Dans le cas du diabète insulinodépendant, c’est-à-dire que le malade nécessite de l’insuline pour rééquilibrer son diabète, l’acidocétose correspond à une complication du diabète sucré qui se caractérise par le fait que le glucose (sucre) ne rentre pas ou mal dans les cellules où il est nécessaire. Les cellules vont devoir utiliser d’autres constituants comme combustible pour fonctionner. Elles s’orientent alors vers les acides gras, qui sont les éléments de base des corps gras contenus dans le sang, mais dont la dégradation va entraîner la formation d’autres éléments chimiques qui vont alors s’accumuler dans le sang : les corps cétoniques.
Article : Amastie-athelie
Les seins surnuméraires sont constitués de tissu mammaire, c'est-à-dire de cellules ayant la capacité de sécréter du lait, mais situé de manière ectopique c'est-à-dire dans une zone anormale pour du tissu mammaire. Soit cette zone est localisée sur le trajet des crêtes mammaires primitives (cellules destinées à donner des cellules mammaires chez l'adulte) chez l'embryon, soit cette zone est située en dehors de la crête mammaire « normale » ce qui aboutit à des seins aberrants (en haut de la cuisse, sous l'aisselle, etc.). Habituellement, cette glande mammaire ectopique régresse spontanément chez l'embryon. Quand ce n'est pas le cas, ceci aboutit à une polymastie. Il s'agit d'une anomalie qui concerne fréquemment avant tout la femme mais, répétons le, elle peut également survenir chez l'homme. Le plus souvent cette glande mammaire est unique et se localise dans le creux axillaire.
Le terme polythélie désigne un seul mamelon identifiable et une seule aréole associée à du tissu mammaire sous-jacent qui est de constitution normale.
Le terme glande mammaire aberrante désigne la présence d'un sein en dehors de la zone des crêtes mammaires. Celui-ci ne comporte pas d'aréole ni de mamelon. C'est la raison pour laquelle elles apparaissent le plus souvent à la suite d'une grossesse ou d'un dérèglement endocrinien (hormonal).
L'amastie-athélie désigne l'absence de glande mammaire de nature congénitale. Il s'agit d'une affection particulièrement rare.
En cas d'inversion du mamelon les canaux galactophores viennent s'aboucher dans un petit creux de nature épithéliale (à la peau). Il s'agit d'une anomalie qui le plus souvent est de nature congénitale mais peut également être le résultat d'une rétraction du mamelon due à une tumeur mammaire.
NDM-1 : LA NOUVELLE MENACE QUI INQUIETE LES AUTORITES SANITAIRES
Le gène NDM-1 est présent dans divers types de bactéries, notamment les entérobactéries de type colibacilles, qui sont à l'origine d'un grand nombre d'infections humaines.
En 2008, un premier cas de bactérie multirésistante a été identifié dans un centre de soins suédois. Le patient, d’origine indienne, venait d’être transféré d’un hôpital de New Delhi.
Depuis, d'autres cas ont été répertoriés dans le monde : en Inde (probablement plusieurs centaines), au Pakistan, au Royaume Uni (plus de 40), aux USA, au Canada, en Australie, en Autriche, en Belgique (1 cas mortel), en France (1 cas : personne précédemment hospitalisée en Inde, et porteuse d'une bactérie de type NDM-1), ...
En milieu hospitalier, elles provoquent diverses infections nosocomiales (septicémies, infections pulmonaires, ...) qui peuvent mettre en péril la vie des patients fragilisés. Présentes dans l'environnement, les bactéries de type NDM1 colonisent en priorité le tube digestif et se transmettent le plus souvent par les mains et les objets souillés, sur un mode dit « féco-oral », ou en buvant de l’eau contaminée. En aucun cas il n’y a propagation par l’air. UN RISQUE LIE AU TOURISME MEDICALLa majorité des infections ont été contractées dans le cadre d’un séjour touristique médical en Inde ou au Pakistan. En France, un ensemble de recommandations a été émis dans le courant du mois de septembre. L’idée est de dépister les patients à risque, récemment hospitalisés à l’étranger (tourisme médical) et rapatriés par des organismes d’assistance ou des centres hospitaliers.
Concernant le traitement par antibiotique, les spécialistes s’accordent à dire que rien d’efficace ne sera proposé avant 5 ans. SI VOUS DEVEZ VOUS RENDRE DANS UN DE CES PAYSLes recommandations d’hygiène habituelles s’appliquent, à savoir : se laver les mains le plus souvent possible et éviter l’ingestion d’eau non conditionnée (ne pas utiliser l'eau du robinet, y compris sous forme de glaçons ou pour rincer les fruits et légumes).
Femme et cancer : Bas les masques � Perpignan !
Le but de cet évènement est de faire découvrir une structure non médicalisée où sont proposées gratuitement aux femmes atteintes d'un cancer des services destinés à améliorer leur qualité de vie et à adoucir leur quotidien :
* soutien psychologique
* soins esthétiques
* conseils en coiffure et prothèses capillaires
* diététique
* activité physique adaptée
* art créatif floral, ...
Tout une équipe de professionnels bénévoles s'est mobilisée pour aider ces femmes à vivre en dépassant les conséquences de cette maladie et de ses traitements (perte de poids, perte de cheveux, mammectomie, ...).
L'importance du contexte psychologique dans la guérison est reconnue depuis longtemps, et prendre soin de soi est une arme supplémentaire dans le combat contre la maladie, pour que le corps ne soit plus uniquement l'objet de souffrances mais redevienne source de bien-être.
Programme de la Semaine au profit des femmes atteintes du cancer
Diabete : des marqueurs de l'inflammation prediraient le risque et la reponse aux modifications du mode de vie
Des médiateurs de la réponse immunologique et des marqueurs de l'inflammation seraient associés au développement du diabète de type 2 et prédiraient également la réponse aux modifications du mode de vie permettant de diminuer le risque de survenue de cette pathologie, selon une étude allemande publiée dans la revue "Diabetes".
Les résultats de précédentes études ont d'ores et déjà suggéré qu'une inflammation modérée et une stimulation du système immunologique pouvaient être fréquentes chez les patients présentant un risque important de diabète.
Pour identifier quels marqueurs pouvaient être utiles, le Dr Christian Herder, du Centre germanique du diabète à Düsseldorf, et ses collègues ont inclus 522 personnes en surpoids ou obèses présentant une intolérance au glucose, réparties en deux groupes : l'un constituant le groupe contrôle, l'autre bénéficiant d'un programme fondé sur des modifications du mode de vie comprenant une augmentation de l'activité physique, une réduction de la consommation des graisses, une augmentation de celle des fibres et l'obtention d'une perte de poids.
Les chercheurs ont dosé dans le sang les taux de protéine C-réactive (CRP, un marqueur principal de l'inflammation), la protéine amyloïde A, l'interleukine-6, ainsi que des médiateurs immunologiques comme le RANTES, le facteur d'inhibition de la migration des macrophages (MIF) et la molécule d'adhésion intercellulaire soluble.
Après un suivi moyen de 3,9 ans, des taux sanguins élevés de CRP dans le groupe contrôle ont été associés à une augmentation de l'incidence du diabète. Néanmoins, les taux de CRP initiaux n'ont pas permis de prédire l'évolution des patients bénéficiant des modifications hygiéno-diététiques. En revanche, ceux possédant de faibles taux des marqueurs RANTES et MIF ont présenté un risque moindre de progression vers un diabète.
"L'évaluation de marqueurs de l'inflammation et immunologiques peut fournir des informations supplémentaires sur le risque de diabète de type 2, en plus des facteurs de risque traditionnels", estiment les auteurs.
(Diabetes 2006 ; vol 55 : p. 2340-2346)
BISPHENOL A : LE DANGER SE PRECISE ...
D’autre part, des recherches récentes ont mis en évidence un surprenant et inquiétant mode de contamination.
Aujourd’hui et plus que jamais le bisphénol A est montré du doigt. Qu’en est-il ? Un point sur la question s’impose…
QU'EST-CE QUE LE BISPHENOL A ?
Il s’agit d’un composé chimique découvert en 1891 par le chimiste russe Alexandre P. Dianin. Le Bisphénol A ou BPA est issu de la combinaison de produits proches de l’acétone et du phénol.
Il est principalement utilisé dans la fabrication des plastiques alimentaires (bouteilles, revêtement de boîtes de conserve, de canettes, ciment dentaire, etc…).
On a récemment découvert qu’il servait également à l’impression de 80% des facturettes …
POURQUOI SUSCITE-T-IL L'INQUIETUDE ?
Le bisphénol A est un perturbateur endocrinien. Même à très faible dose, ce « leurre hormonal » peut imiter l’action d’une hormone, en bloquer les effets en saturant les récepteurs, ou encore en perturber l’action sur le métabolisme (croissance, division cellulaire, etc ...).
Plusieurs effets néfastes sont à déplorer :
Le BPA pourrait avoir un effet irréversible sur les embryons et les fœtus, être à l’origine de malformations génitales et augmenter le risque cancérigène.
Le bisphénol A serait impliqué dans de nombreux cancers tels que celui de la prostate, des testicules, le cancer du sein chez la femme et le neuroblastome chez l’enfant.
Des études ont été menées sur des cellules humaines cancéreuses in vitro. Elles ont démontré que le bisphénol A peut activer les récepteurs d’œstrogènes et stimuler la multiplication des cellules cancéreuses.
Implication dans les maladies cardiovasculaires Atteinte du système reproductif (abaissement de l’age de la puberté, malformations)Atteinte du système nerveux provoquant des problèmes d’attention chez l’enfant.
Comment le BPA passe-t-il dans l’organisme ?
Une étude américaine a démontré que 93% de la population serait imprégnée par le BPA. Cette contamination se ferait principalement de trois façons : De nombreuses recherches menées sur les rats ont démontré que l’exposition au bisphénol A, pendant la gestation et durant la période post-natale, altère les tissus mammaires (seins) et favorise le développement des tumeurs.
Le BPA est présent dans de nombreux emballages alimentaires, revêtements de boites de conserves, canettes, et biberons. Il a été prouvé que le bisphénol A peut migrer de l’emballage vers le contenu alimentaire surtout lorsqu’il est chauffé. Le transfert est alors 50 fois plus important.
A la fin des années 90, une étude a été menée aux Etats-Unis sur les tickets de caisse. On y apprend que presque 80% de ces facturettes (les tickets thermosensibles utilisés dans les supermarchés, distributeurs de billet, parkings, etc) contiendraient du BPA, en quantité 1000 fois supérieure à celle contenue dans une boite de conserve par exemple.
En août 2010, une équipe de chercheurs américains a révélé des niveaux anormalement élevés de BPA dans l’organisme des caissières d’un supermarché. La dose de bisphénol A était 8 fois supérieure à la dose autorisée par l’EFSA ( Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire) et l’EPA (Environemental Protection Agency).
Enfin, l’INRA de Toulouse a démontré, lors d’études sur de la peau de porc, que les deux tiers du BPA passent la barrière cutanée et se retrouvent dans l’organisme… Une seconde étude a été réalisée sur de la peau humaine et a abouti aux mêmes conclusions.
Que peut-on faire pour se prémunir ?
Ne pas utiliser les produits contenant du BPA et repérés par les symboles de recyclage du polychlorure de vinyle (3) et du polycarbonate (7).Eviter de chauffer directement au micro-ondes les biberons, boites de conservation, ... contenant du bisphénol A.Ne pas laisser les tickets de caisses traîner dans le sac avec les produits alimentaires et éviter de trop les manipuler.
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samedi 19 novembre 2011
Article : Queue de cheval (syndrome de la)
La compression à cet endroit de l'organisme provoque ce que l'on appelle le syndrome de la queue de cheval. Elle est produite par :
Une hernie discale située entre deux vertèbres lombaires, généralement la quatrième et la cinquiemme lombaire (L5)Une tumeur nerveuseUn épendymome (tumeur qui se développe à partir des cellules constituant l'épendyme. L'épendyme est un canal étroit situé au milieu de la moelle épinière transportant le liquide céphalo-rachidien à partir des ventricules cérébraux.)Un canal rétréciUne arthroseLire la suite de l'article Queue de cheval (syndrome de la) : Anatomi
vendredi 18 novembre 2011
Actualit� : LE BISPHENOL A (BPA) BIENTOT INTERDIT
Dès 2013, ce sont les contenants alimentaires destinés aux enfants de moins de 3 ans qui se verront interdire de commercialisation, comme l’avait souhaité, le 6 octobre dernier, le Ministre du travail, de l’emploi et de la santé, Xavier Bertrand.
Dans un « contexte post médiator », le ministre a ainsi souhaité rassurer au plus vite les Français…
UNE LOI QUI INTERVIENT APRES L'ALERTE DE L'ANSES
Le 27 septembre dernier, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), a alerté l’opinion publique en publiant deux rapports mettant en avant les risques sanitaires liés à l’utilisation du Bisphénol A.
DES EFFETS SUSPECTES CHEZ L'HUMAIN …
Le premier rapport rendu public synthétise l’étude de plusieurs centaines de publications sur le sujet. Le premier constat de l’Anses est qu’il existe « des effets sanitaires avérés chez l’animal (avancement de l’age de la puberté, augmentation du risque de kystes ovariens, lésions sur la glande mammaire, altération de la production spermatique…) et suspectés chez l’homme (fertilité féminine, problèmes cardio-vasculaires, diabète, troubles de la concentration et de l’attention chez les jeunes enfants) … »
LA DOSE NE FAIT PAS LE POISON
Le second constat concerne la nocivité du Bisphénol A (BPA) «même à de très faibles niveaux d’exposition ». L’Anses insiste également sur des risques aggravés durant certaines périodes de la gestation (grossesse, périodes pré et postnatale). Ces deux constats tendent à rendre caduques les recommandations de l’EFSA (Autorité européenne pour la sécurité alimentaire), qui a fixé la DJA (dose journalière admissible), à 0,05 milligramme par kilo de poids corporel, la dose n’étant plus désormais l’élément déterminant de la nocivité.
Ainsi, la DJA actuellement fixée serait, pour certains spécialistes, deux millions de fois trop élevée … Manger une boîte de raviolis et de fruits par jour suffirait à atteindre l’équivalent de la dose critique chez les animaux …
LE BPA EST OMNIPRESENT DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE
Le deuxième rapport publié par l’Anses s’intéressait aux utilisations du Bisphénol A. Il en ressort que «près d’une soixantaine de secteurs d’activité potentiellement utilisateurs de Bisphénol A en France ont été identifiés ». Parmi eux, les emballages alimentaires bien sûr, mais plus étonnant, les lentilles de contact, les CD, DVD, adhésifs, câbles, optiques de phares, pare-choc, articles de sport, revêtements de sol, vernis et peintures, encres d’imprimerie, etc.. et comme nous l’avions déjà signalé dans un précèdent article, les tickets de caisses thermo-imprimables.
LES PRECONISATIONS DE L'ANSES
Réduire l’exposition aux risques des populations sensibles et mieux informer le consommateur.
L’Anses estime « avoir suffisamment d’éléments scientifiques pour demander, en priorité, que les femmes enceintes et allaitantes, les nourrissons et les enfants ne soient pas mis en contact avec cette substance et notamment dans tous les produits alimentaires ».
La seconde préconisation de l’Anses vise à faire étiqueter systématiquement les produits contenant du BPA.
D'AUTRES ETUDES SONT EN COURS DE REALISATION
L’Anses a sollicité les industriels afin de répertorier les substitutifs au BPA, mais aussi afin de s’assurer de l’innocuité de ces substances. Rendez-vous est pris le 30 novembre 2011 pour faire un point sur ces propositions.
Une autre série de travaux a été lancée. Elle s’intéressera aux sources et aux modes de contamination chez l’humain. Les premiers résultats devraient être connus dès le début 2012.
DROGUES NUMERIQUES : FAUT-IL EN AVOIR PEUR ?
Les écouteurs stéréo vont-ils bientôt remplacer seringues, comprimés et autres vapeurs enivrantes ? Quel est le principe d’action de ces fichiers audio? Quels sont leurs effets ? Présentent-ils un risque pour l’utilisateur ? COMMENT AGISSENT CES "DROGUES" D'UN NOUVEAU GENRE ?Le principe d’action de ces «drogues numériques» repose sur l’utilisation de sons binauraux. Dès 1839, Heinrich Wilhelm Dove, physicien prussien, découvre que deux sons similaires mais de fréquences différentes, émis simultanément dans chacune des deux oreilles, peuvent modifier la fréquence des ondes cérébrales.
Sous l’effet de ces sons binauraux, le cerveau émettrait des ondes alpha et thêta, procurant ainsi à l’auditeur une sensation de profonde relaxation, proche de l’auto-hypnose. Seule une pratique intensive de la méditation permettrait d’atteindre un tel résultat.
Ces sons auraient donc la faculté de plonger l’auditeur dans un état de bien-être, voire de transe, comparable à celui obtenu par la prise de certains psychotropes.
Pour obtenir les meilleurs résultats, les «dealers» de l’aire numérique recommandent l’utilisation de casques stéréo, une écoute en position allongée et dans une pièce obscure… DROGUES NUMERIQUES : NIRVANA OU ARNAQUE ?Après tests et lecture de nombreux témoignages sur le sujet, les avis sur l’efficacité réelle des «drogues numériques» sont plus que partagés.
Pour le plus grand nombre, dans le meilleur des cas ce sera l’endormissement ou quelques sensations de fourmillements dans les membres. Dans le pire, nausées ou maux de tête seront la destination de ce voyage aux pays des merveilles…
Pour quelques autres, le grand frisson sera au rendez-vous. Des témoignages filmés montrent de jeunes utilisateurs en état de transe. D’après Brigitte Forgeot, neuropsychologue, il s’agirait tout simplement d’auto-suggestion. Elle ne minimise cependant pas les effets réels que pourraient avoir les sons binauraux. Dans son mémoire intitulé «Les sons binauraux, effets cliniques et neuropsychologiques; perspectives d'applications», elle explique qu’ils semblent avoir une incidence notable sur certaines composantes des fonctions attentionnelles (l'attention) et mnésiques (la mémoire), ainsi qu'au niveau clinique sur l'anxiété et le traitement émotionnel.
Point important à souligner, ces fichiers aux sonorités prétendument «stupéfiantes» sont payants. Il faut compter en effet l’équivalent de 4$ à 199$ pour tenter l’aventure … Business juteux en vue …
QUELS SONT LES RISQUES ENCOURUS ?La Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie (MILDT), alertée sur la question, se veut rassurante. Il n’y a pas, selon elle, de risque d’addiction ou de besoin d’augmenter la «dose», comme ce serait le cas pour une drogue avérée.
La MILD rappelle cependant que les sons binauraux ont des effets réels et ne sont pas anodins.
De plus, des effets indirects peuvent être à déplorer. En effet, en laissant penser que les «drogues» numériques pourraient avoir un effet euphorisant et procureraient un mieux-être, les utilisateurs prennent le risque de masquer un syndrome dépressif et de s’affranchir d’un véritable soutien médical et psychothérapeutique.
Enfin, dernier risque plus sournois, la banalisation de l’image de la drogue associée ici à une expérience «fun» et sans risque. Dans le même esprit, le site I Doser, principal acteur de ce nouveau secteur, propose à ses visiteurs de devenir… «dealer». Cette plateforme commerciale, basée aux Etats-Unis, s’engage en effet à rémunérer les prescripteurs qui auront réussi à convaincre de nouveaux clients.
Douteuse méthode de marketing viral
Article : Anti-inflammatoire
De façon générale, l'inflammation correspond à un ensemble de phénomènes survenant à un point d'irritation après l'invasion par un agent pathogène (susceptible d'engendrer une maladie). A la suite d'une agression constituée par une blessure, une infection ou un traumatisme consécutif à un acte chirurgical, il se crée dans l'organisme ce que l'on appelle une inflammation. Classiquement, une inflammation se manifeste par quatre signes principaux : rougeur, chaleur, tuméfaction (gonflement), douleur. Le mécanisme inflammatoire fait intervenir un grand nombre de substances présentes dans le sang, entre autres de nombreuses hormones, comme les prostaglandines, l'histamine, des compléments, les cytokines participent à l'inflammation.Lire la suite de l'article Anti-inflammatoire : Classification
Article : Associations de malades
CANCEROLOGIE
Association des parents et des amis des enfants traités à l'Institut Gustave-Roussy (ISIS)
39, rue Camille-Desmoulins
94805 Villejuif cdx
Tél : 01 42 11 52 20. Fax : 01 42 11 54 52
E-mail : isis@igr.fr
Site web : http://www.isis-asso.com
Europa Donna - Forum France
Coalition européenne contre le cancer du sein
14, rue Corvisart
75013 Paris
Tél : 01 44 30 07 66 E-mail : infos@europadonna.fr
Site web : http://www.europadonna.fr
Ligue nationale contre le cancer (LNCC)
14, rue Corvisart
75013 Paris
Tél : 01 53 55 24 00. Fax : 01 43 36 91 10
Site web : http://www.ligue-cancer.net
CARDIOLOGIE
Association des porteurs de valves artificielles cardiaques
46, rue de Ménilmontant
75020 Paris
Tél : 01 46 36 41 89
DERMATOLOGIE
Association de lutte contre le psoriasis (APLCP)
Parc du Bondon
23, rue Madame de Ségur
56000 Vannes
Tél : 02 97 46 48 56 E-mail : michele.corvest@wanadoo.fr
Site web : http://www.aplcp.org
ENDOCRINOLOGIE
CROISSANCE (HORMONE DE)
Association Grandir
84, avenue Pasteur
10000 Troyes
Tél : 03 25 70 05 08 E-mail : grandir@wanadoo.fr
Site web : http://www.grandir.asso.fr
DIABETE
Aide aux jeunes diabétiques (AJD)
9, avenue Pierre-de-Coubertin
75013 Paris
Tél : 01 44 16 89 89. Fax : 01 45 81 40 38
E-mail : ajd.vias@wanadoo.fr
Site web : http://www.ajd-educ.org
Association française des diabétiques (AFD)
88, rue de la Roquette
75011 Paris
Tél : 01 40 09 24 25. Fax : 01 40 09 20 30
E-mail : afd@afd.asso.fr
Site web : http://www.afd.asso.fr
Ligue des diabétiques de France (LDF)
Adresse postale :
1, rue de Ségur
64000 Pau
Tél : 05 59 32 36 01. Fax : 05 59 72 97 75
E-mail : ldfpau@yahoo.fr
Site web : http://www.diabetenet.com
Union des maisons du diabète et de la nutrition - Maison du diabète et du risque cardiovasculaire
Association de professionnels de santé
124, rue Raymond-Derain
59700 Marcq-en-Baroeul
Tél : 03 20 72 32 82. Fax : 03 20 65 25 22
E-mail : mddrc@maison-diabete.com
Site web : http://www.maison-diabete.com
GASTRO-ENTEROLOGIE
MALADIE DE CROHN
Association François-Aupetit (AFA)
La Maison des MICI
78, quai de Jemmapes
75010 Paris
Tél : 08 26 62 52 20 (MICI infos du lundi au vendredi de 9 h à 18 h)
E-mail : info-accueil@afa.asso.fr
Site web : http://www.afa.asso.fr
HEMATOLOGIE
Association française des hémophiles
6, rue Alexandre-Cabanel
75739 Paris cdx 15
Tél : 01 45 67 77 67. Fax : 01 45 67 85 44
E-mail : info@afh.asso.fr
Site web : http://www.afh.asso.fr
Association Hémochromatose France (AHF)
BP 87777. 30912 Nîmes cdx 2
Tél : 04 66 64 52 22 ou 08 75 49 14 52
Fax : 04 66 62 93 87
E-mail : contact@hemochromatose.fr
Site web : http://www.hemochromatose.fr
Fédération Française des Associations de Malades de l'Hémochromatose (FFAMH)
60, rue du rendez-vous
75012 PARIS
Tél : 09 72 19 34 80
E-mail : contact@ffamh.hemochromatose.org
Site web : www.ffamh.hemochromatose.org/spip
MALADIES INFECTIEUSES
LEPRE
Fondation Raoul-Follereau
31, rue Dantzig
75015 Paris
Tél : 01 53 68 98 98. Fax : 01 48 56 22 22
E-mail : follereau@raoul-follereau.org
Site web : http://www.raoul-follereau.org
MALADIES NOSOCOMIALES
Lutte, information, études des infections nosocomiales, sécurité sanitaire (LIEN)
BP 236. 91943 Courtaboeuf cdx
Tél : 01 69 07 26 26. Fax : 01 64 46 62 57
E-mail : contact@association-lien.org
Site web : http://www.association-lien.org
SIDA
TRT-5 (groupe interassociatif de représentants de malades « traitement et recherche thérapeutique »)
8 associations de lutte contre le sida
14, rue Scandicci
93508 Pantin cdx
Tél : 01 41 83 46 11. Fax : 01 41 83 46 89
E-mail : coordination@trt-5.org
AIDES
Association de lutte contre le sida et les hépatites
Tour Essor
14, rue Scandicci
93508 Pantin cdx
Tél : 01 41 83 46 46. Fax : 01 41 83 46 19
E-mail : aides@aides.org
Site web : http://www.aides.org
Solidarité enfants sida (Sol En Si)
9 bis, rue Léon-Giraud
75019 Paris
Tél : 01 44 52 78 78. Fax : 01 42 38 91 63
E-mail : solidarite-enfants-sida@wanadoo.fr
Site web : http://www.solensi.asso.fr
Actions Traitements
190, boulevard de Charonne
75020 Paris
Tél : 01 43 67 66 00. Fax : 01 43 67 37 00
Site web : http://www.actions-traitements.org
ARCAT
94-102, rue de Buzenval
75020 Paris
Tél : 01 44 93 29 29. Fax : 01 44 93 29 30
Site web : http://www.arcat-sante.org
Dessine-moi un mouton
12, rue d'Enghien
75010 Paris
Tél : 01 40 28 01 01. Fax : 01 40 28 01 10
Site web : http://www.dessinemoiunmouton.org
Sida Info Service
190, boulevard de Charonne
75020 Paris
Tél : 08 00 84 08 00. Fax : 01 44 93 16 00
Site web : http://www.sida-info-service.org
MALADIES RARES
Alliance Maladies rares
Plateforme Maladies rares
102, rue Didot
75014 Paris
Tél : 01 56 53 53 40. Fax : 01 56 53 53 44
E-mail : alliance@maladiesrares.org
Site web : http://www.alliance-maladies-rares.org
Amalyste (Lyell et Stevens-Johnson)
4, rue Yves-Toudic
75010 Paris
Tél : 08 71 71 51 02 E-mail : contact@amalyste.fr
Site web : http://www.amalyste.free.fr
Association Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages
(Asso E 3M)
25, rue de Verdun
21350 Vitteaux
Tél : 03 80 33 92 98 E-mail : myofass@free.fr
Site web : http://www.myofasciite.fr
Site web : http://www.myofasciitis.com
Association européenne contre les leucodystrophies (ELA)
2, rue Mi-les-Vignes
BP 61024. 54521 Laxou cdx
Tél : 03 83 30 93 34. Fax : 03 83 30 00 68
E-mail : ela@ela-asso.com
Site web : http://www.ela-asso.com
Association française du Gougerot Sj?gren et des syndromes secs
Lieu-dit Les Peyrières
81660 Pont-de-l'Arn
Tél : 05 63 61 04 70 E-mail : afgs@wanadoo.fr
Site web : http://www.afgs-syndromes-secs.org
Association française contre les myopathies (AFM)
1, rue de l'Internationale
BP 59. 91002 Evry
Tél : 01 69 47 28 28. Fax : 01 60 77 12 16
E-mail : afm@afm.genethon.fr
Site web : http://www.afm-france.org
Association française du Syndrome de Marfan
6, rue de la République
78600 Maisons-Lafitte
Tél : 01 64 62 03 75 E-mail : afsm@vivremarfan.org
Site web : http://www.vivremarfan.org
Association française du syndrome de fatigue chronique et de fibromyalgie
51, rue Maurice-Molhant
59830 Bourghelles
Tél : 03 20 84 13 52 E-mail : fatiguechronique.fibromyalgie@hotmail.fr
Site web : http://www.asso.nordnet.fr/cfs-spid
Association de malades atteints de dystonie (AMADYS)
7, résidence du Trescaut
Le Gorvello
56250 Sulniac
Tél : 08 71 57 81 60 E-mail : claude.michon.amadys@wanadoo.fr
Site web : http://www.amadys.net
Association Neurofibromatoses et Recklinghausen (ANR)
34, vieux Chemin de Grenade
31700 Blagnac
Tél : 05 61 30 03 37 E-mail : contact@anrfrance.org
Site web : http://www.anrfrance.org
Cutix Laxa Internationale
35, route des Chaîgnes
17740 Sainte-Marie-de-Ré
Site web : http://www.orpha.net/nestasso/cutislax
Eurordis
(fédération européenne d'associations pour maladies rares)
Hôpital Broussais
Plateforme Maladies rares
Bât Gaudart-d'Allaines
102, rue Didot
75014 Paris
Tél : 01 56 53 52 10. Fax : 01 56 53 52 15
E-mail : eurordis@eurordis.org
Site web : http://www.eurordis.org
Fédération des maladies orphelines
6, rue Sainte-Lucie
75015 Paris
Tél : 01 43 25 98 00. Fax : 01 43 54 32 56
Site web : http://www.maladies-orphelines.fr
Ligue française contre la neurofibromatose
2, chemin des Mésanges
17540 Anais
Tél : 05 46 68 23 70 E-mail : ligue.neurofibromatoses@cegetel.net
Site web : http://www.orpha.net/associations/LFCN/
Maladies rares Info Services
Plateforme Maladies rares
102, rue Didot
75014 Paris
Tél Azur : 08 10 63 19 20 (prix d'un appel local)
E-mail : info-services@maladiesrares.org
Site web : http://www.maladiesraresinfo.org
Médicaments orphelins
Orphanet
Plateforme Maladies rares
102, rue Didot
75014 Paris
Tél : 01 56 53 81 37. Fax : 01 56 53 81 38
E-mail : orphanet@orpha.net
Site web : http://www.orphanet.fr
Vaincre les maladies lysosomales (VML)
2 ter, avenue de France
91300 Massy
Tél : 01 69 75 40 30. Fax : 01 60 11 15 83
E-mail : info@vml-asso.org
Site web : http://www.vml-asso.org
NEPHROLOGIE
Fédération nationale d'aide aux insuffisants rénaux (FNAIR)
75, cours Albert-Thomas
Immeuble « 6e Avenue ». Bât D
69000 Lyon
Tél : 04 72 30 12 31. Fax : 04 78 46 27 81
E-mail : fnair@fnair.asso.fr
Site web : http://www.fnair.asso.fr
NEUROLOGIE
ALZHEIMER
France Alzheimer et maladies apparentées
Union nationale des associations Alzheimer
21, boulevard Montmartre
75002 Paris
Tél : 01 42 97 52 41 ou 08 11 11 21 12 (prix d'un appel local).
Fax : 01 42 96 04 70
E-mail : contact@francealzheimer.org
Site web : http://www.francealzheimer.org
EPILEPSIE
Epilepsie Euro-services
115, rue de l'Abbé-Groult
75015 Paris
Tél : 01 56 80 10 60 E-mail : epieuros@club-internet.fr
Site web : http://www.handi-capacites.eu
Fondation française pour la recherche sur l'épilepsie
9, avenue Percier
75008 Paris
Tél : 01 47 83 65 36. Fax : 01 40 61 01 44
E-mail : FFRE@fondation.epilepsie.fr
Site web : http://www.fondation-epilepsie.fr
PARKINSON
Association France Parkinson
37 bis, rue Jean-de-La-Fontaine
75016 Paris
Tél : 01 45 20 22 20. Fax : 01 40 50 16 44
E-mail : infos@franceparkinson.fr
Site web : http://www.franceparkinson.fr
Fédération française des groupements des parkinsoniens (FFGP)
34, route de Carrières
78400 Chatou
Tél : 01 30 53 20 29 E-mail : ffgp.asso@free.fr
Site web : http://www.parkinsoniens.org
SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE
et AUTRES MALADIES DU MOTONEURONE
Association pour la recherche sur la sclérose latérale amyotrophique
et autres maladies du motoneurone (ARS)
75, avenue de la République
75011 Paris
Tél : 01 43 38 99 89. Fax : 01 43 38 31 59
E-mail : ars@wanadoo.fr
Site web : http://www.ars.asso.fr
SCLEROSE EN PLAQUES
Association des paralysés de France (APF)
APF Ecoute infos SEP
17, boulevard Auguste-Blanqui
75013 Paris
Tél : 01 40 78 27 23. Fax : 01 40 78 69 03
E-mail : sylvaine.ponroy@apf.asso.fr
Site web : http://www.sclerose-en-plaques.apf.asso.fr
Site web : http://www.apf.asso.fr
Ligue française contre la sclérose en plaques
40, rue Duranton
75015 Paris
Tél : 01 53 98 98 80 Tél Azur : 08 10 80 89 53.
Fax : 01 53 98 98 88
E-mail : info@lfsep.asso.fr
Site web : http://www.lfsep.com
Nouvelle association française des sclérosés en plaques (NAFSEP)
7, avenue Albert-Durand
31700 Blagnac
Tél : 05 34 55 77 00. Fax : 05 61 30 49 73
E-mail : nafsep@nafsep.org
Site web : http://www.nafsep.org
Jeunes :
E-mail : site.jeunes@nafsep.org
Site web : http://www.nafsep-jeunes.org
OPHTALMOLOGIE
Retina France
2, chemin du Cabirol
BP 62. 31771 Colomiers cdx
Tél : 08 10 30 20 50. Fax : 05 61 78 91 00
E-mail : info@retina.fr
Site web : http://www.retina.fr
PNEUMOLOGIE
Comité national contre les maladies respiratoires (CNMR)
66, boulevard Saint-Michel
75006 Paris
Tél : 01 46 34 58 80. Fax : 01 43 29 06 58
E-mail : contact@lesouffle.org
Site web : http://www.lesouffle.org
Fédération française des associations et amicales de malades insuffisants ou handicapés respiratoires (FFAAIR)
66, boulevard Saint-Michel
75006 Paris
Tél : 01 55 42 50 40 E-mail : ffaair@ffaair.org
Site web : http://www.ffaair.org
SOS Mucoviscidose
ZAC de la Bonne-Rencontre
2, voie Gallo-Romaine
BP 60018. 77352 Meaux cdx
Tél : 01 64 63 15 04. Fax : 01 60 04 41 86
E-mail : sosmuco@wanadoo.fr
Site web : http://www.sosmucoviscidose.asso.fr
Vaincre la mucoviscidose
181, rue de Tolbiac
75013 Paris
Tél : 01 40 78 91 91. Fax : 01 45 80 86 44
E-mail : info@vaincrelamuco.org
Site web : http://www.vaincrelamuco.org
PSYCHIATRIE
Association française des personnes souffrant de troubles obsessionnels compulsifs (AFTOC)
Christophe Demonfaucon
12, route de Versailles
78117 Chateaufort
Tél : 01 39 56 67 22 E-mail : eode@club-internet.fr
E-mail : aftoc@club-internet.fr
Site web : http://www.perso.club-internet.fr/aftoc/accueil.htm
Autisme France
Siège social :
201, rue Lecourbe
75015 Paris
Bureaux :
Lotissement 110/111. Voie K
460, avenue de la Quiera
06370 Mouans-Sartoux
Tél : 04 93 46 01 77. Fax : 04 93 46 01 14
E-mail : autisme.france@wanadoo.fr
Site web : http://www.autismefrance.org
Fédération nationale des Associations d'(ex) patients psy (Fnap Psy)
33, rue Daviel
75013 Paris
Tél : 01 43 64 85 42 Tél Service « espoir-écoute » : 01 45 26 08 37
Fax : 01 42 82 14 17
Site web : http://www.fnappsy.org
Union nationale des amis et familles de malades psychiques (UNAFAM)
12, villa Compoint
75017 Paris
Tél : 01 53 06 30 43 Tél Service « écoute-famille » : 01 42 63 03 03
Fax : 01 42 63 44 00
E-mail : infos@unafam.org
Site web : http://www.unafam.org
RHUMATOLOGIE
Association française de lutte anti-rhumatismale (AFLAR)
2, rue Bourgon
75013 Paris
Tél : 01 45 80 30 00. Fax : 01 45 83 30 31
E-mail : aflar@wanadoo.fr
Site web : http://www.aflar.org
Association française des polyarthritiques (AFP)
53, rue Compans
75019 Paris
Tél : 01 40 03 02 00. Fax : 01 40 03 02 09
E-mail : afp@nerim.net
Site web : http://www.polyarthrite.org
Association française des spondylarthritiques (AFS)
CHU Rennes Hôpital Sud
Service de rhumatologie
16, boulevard de Bulgarie
BP 90347. 35203 Rennes cdx 2
Tél : 02 99 64 73 84. Fax : 02 99 64 78 36
E-mail : pres-afs@ujf-grenoble.fr
E-mail : martine.roch@wanadoo.fr
Site web : http://www.afs.fr.st
Site web : http://www.spondylarthrite.org
Association nationale de défense contre l'arthrite rhumatoïde (ANDAR)
7, rue des Calquières
34800 Clermont L'Hérault
Tél : 04 67 88 53 12. Fax : 04 67 88 59 86
E-mail : andar@polyarthrite-andar.com
Site web : http://www.polyarthrite-andar.org
European Ligue contre l'arthrite, les rhumatismes et leur handicap (ELARH)
2, rue Malbec
31000 Toulouse
Tél : 05 61 21 61 27 Tél portable : 06 74 60 43 42
E-mail : contact@elarh.org
Site web : http://www.elarh.org
DIVERS
Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD)
50, rue de Chabrol
75010 Paris
Tél 01 48 00 04 92/16.
Fax : 01 48 00 05 72
E-mail : infos@admd.net
Site web : http://www.admd.net
Association des paralysés de France (APF)
17, boulevard Auguste-Blanqui
75013 Paris
Tél : 01 40 78 69 00. Fax : 01 45 89 40 57
Tél Vert : 0 800 500 597 (tout handicap moteur)
Tél Vert : 0 800 854 976 (sclérose en plaques)
Site associatif : www.apf.asso.fr Site d'information sur les handicaps : www.moteurline.apf.asso.fr Site spécifique SEP : www.sclerose-en-plaques.apf.asso.fr Site spécifique lésions médullaires : www.paratetra.apf.asso.fr
Association d'aide aux victimes des accidents et maladies liés aux risques des médicaments (AAAVAM)
10, rue de la Paix
75002 Paris
Tél : 01 41 10 87 00 Site web : http://www.aaavam.free.fr
Association régionale des infirmes moteurs cérébraux d'Ile-de-France (ARIMC- IDF)
41, rue Duris
75020 Paris
Tél : 01 43 49 22 33/11
Fax : 01 43 49 42 23
E-mail : siegesocial@arimc-idf.asso.fr
Association de recherche thérapeutique (ART)
Centre hospitalier Lyon-Sud
Pavillon Giraud-1K
Chemin du Grand-Revoyet
69495 Pierre-Bénite cdx
Tél Info recrutement : 04 78 86 65 26
Fax : 04 78 50 99 50
E-mail : art_lyonsud@yahoo.fr
CADUS 8
rue Jean Giono
49100 Angers
E-mail : caqdus1@orange.fr
Collectif Interassociatif Autour de la NaissancE (CIANE)
Route de Chaleins
01480 Villeneuve
Tél : 06 85 33 92 49 (Pascal Ledimna)
E-mail : collectif-naissance@wanadoo.fr
Site web : http://www.ciane.info
Fédération nationale des accidentés du travail et handicapés (FNATH)
47, rue des Alliés
42030 Saint-Etienne
Tél : 04 77 49 42 42/48
Site web : http://www.fnath.org
Femmes pour toujours
Association française pour la santé et le bien-être de la femme et du couple
Direction et administration :
17, rue des Nanettes
75011 Paris
Tél : 01 47 00 00 02. Fax : 01 47 00 00 06
Tél Consommatrices (n° Azur) : 08 26 62 31 95
E-mail : info@femsante.com
Site web : http://www.femsante.com
Union nationale des associations familiales (UNAF)
28, place Saint-Georges
75009 Paris
Tél : 01 49 95 36 00. Fax : 01 40 16 12 76
Union nationale des associations pour le développement des soins palliatifs (UNASP)
37-39, avenue de Clichy
75017 Paris
Tél : 01 53 42 31 39. Fax : 01 53 42 31 38
E-mail : unasp@aol.com
Site web : http://www.soins-palliatifs.org
jeudi 17 novembre 2011
Article : D�mence de Diog�ne
D'après Sinope, né en 413 et mort en 327 av. J.-C., Diogène le Cynique était un philosophe qui refusait toutes les conventions sociales et qui ne possédait que de son manteau et de sa besace. Ce philosophe grec représentait l'école cynique et cherchait la sagesse dans le dénuement.Lire la suite de l'article Diog?ne (maladie de) : Causes
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dimanche 13 novembre 2011
LA GRIPPE
La grippe est une maladie infectieuse virale qui évolue sur un mode épidémique. La profusion des personnes infectées, l'éventualité de complications parfois mortelles, les conséquences socio-économiques notables des épidémies font de la grippe un problème de santé publique
majeur.
TABAC ET SANTE
Néanmoins, les fabricants de cigarettes de désarment pas et font preuve d'une inventivité toujours plus grande pour conquérir de nouveaux clients.
Sachant qu'1 fumeur sur 2 mourra prématurément à cause du tabac, l'industrie cigarettière a besoin de renouveler en permanence sa clientèle, ce qui signifie en clair de toucher les enfants de plus en plus tôt.
Il ne suffit pas de trouver de nouveaux clients, il faut les "fidéliser" : la nicotine et certaines des 4000 substances que contient une cigarette créent la dépendance qui assure à l'industriel la fidélité de son client...
Nous vous proposons dans ce dossier des informations synthétiques et des données concrètes sur le tabac, son action et ses méfaits, ainsi que sur quelques-unes des nombreuses armes qu'utilise l'industrie de la cigarette pour prospérer aux dépens de la santé publique.
Les normes de protection actuelles sont-elles suffisantes ? - DANGERS DES RAYONNEMENTS ELECTROMAGNETIQUES
Des normes ont été fixées par l'ICNIRP (Internation Commission on Non-Ionizing Radiations Protection) et le FCC (Federal Communications Commission) pour fixer des limites d'exposition aux champs basses fréquences, aux radio-fréquences, aux extrêmement basses fréquences et aux micro-ondes, tant pour les professionnels que pour le grand public.
Ces normes suffisent-elles à protéger notre santé ?
La réponse du rapport BioInitiative est non. Selon ces chercheurs, il est reconnu que des effets biologiques et des troubles possibles pour la santé causés par une exposition prolongée peuvent survenir à des niveaux d'exposition beaucoup plus faibles que ceux fixés par les normes actuelles.
Ils préconisent que les normes ne se basent plus uniquement sur les effets thermiques (énergie absorbée et réchauffement des tissus), mais tiennent compte des effets non-thermiques (de basse intensité), dont la nocivité en cas d'exposition chronique a été établie.
DANGERS DES RAYONNEMENTS ELECTROMAGNETIQUES
Nous vous proposons ici une synthèse du rapport BioInitiative, réalisé en août 2007. Il s'agit d'une méta-analyse, c'est-à-dire d'une analyse qui regroupe les résultats de nombreuses études faites dans différents pays par des chercheurs indépendants.
Vous constaterez à la lecture de ce dossier que la situation est plus préoccupante que ce que l'on nous laisse parfois entendre.
C'est en étant informés, par des sources diverses et indépendantes, que nous pourrons décider s'il convient de changer certains de nos comportements, voire d'agir collectivement pour préserver notre santé.
jeudi 3 novembre 2011
Analyses bio
Cette section vous permet de savoir si ce que l'on appelle les constantes biologiques c'est-à-dire par exemple le nombre de globules rouges, de globules blancs, le taux de sucre dans le sang, le taux de fer dans le sang, etc. sont normales.
Après avoir reçu des résultats d'analyses prescrits par votre médecin, vous pouvez vérifier si ceux-ci sont conformes aux normes biologiques habituelles en vous rendant directement dans la partie concernée, le plus souvent il s'agit du sang. Vous pouvez également vous servir du moteur de recherche inclus dans la page d'accueil et y écrire simplement la constante biologique à propos de laquelle vous désirez connaître les résultats normaux
Avantages de la microchirurgie de la hernie discale.
L'opération classique qui se déroule sous anesthésie générale dure environ 1 h 30. Cette opération consiste à inciser la peau du dos sur une distance allant de 5 à 10 cm au niveau du disque concerné.
L'étape suivante consiste à décoller le muscle lombaire et à effectuer l'ouverture de la vertèbre (ce que l'on appelle une hémi-laminectomie). Ce geste permet de pouvoir accéder au nerf qui est comprimé par la hernie discale.
La troisième étape consiste à retirer la hernie discale proprement dit et à libérer le nerf. Généralement on procède au curetage du disque pour éviter la récidive.
Enfin, le praticien termine l'opération en refermant l'incision après y avoir mis un drain qui permet l'évacuation des déchets liquidien (pus, sang, antiseptique etc.
La technique chirurgicale mini invasive est, quant à elle beaucoup moins lourde, jugez-en.
D'abord cette opération s'effectue sous anesthésie locorégionale ce qui correspond à une anesthésie (de la zone à inciser et de la région).
Puis une radiographie permet de repérer minutieusement la hernie discale.
Grâce à un microscope le chirurgien incise la peau sur une longueur de seulement 1 cm, très précisément au niveau de la hernie.
L'étape suivante consiste à décoller très légèrement le muscle lombaire de manière à y glisser un minuscule écarteur.
Ce léger écartement des tissus (peau et muscles) permet l'introduction d'un instrument également de petite taille (micro-instrument) qui est inséré entre deux vertèbres.
Grâce à cet instrument minuscule le chirurgien arrive à extraire la hernie à l'origine de la compression du nerf (crural ou sciatique).
Avant de refermer, à l'aide d'un point, cette petite plaie, le chirurgien insère entre les vertèbres une prothèse en polypropylène afin d'éviter le frottement des vertèbres entre elles.
Les avantages de la microchirurgie de la hernie discale, dont la durée ne dépasse pas 20 minutes à peu près, sont énormes par rapport à la technique classique. En effet grâce à cette technique le chirurgien ne touche plus aux vertèbres elles-mêmes ni aux muscles qui soutiennent celles-ci c'est-à-dire les muscles paravertébraux entre autres.
D'autre part les douleurs inhérentes à l'intervention classique sont beaucoup moins présentes car les délabrements cutané (de la peau) et musculaire ainsi qu'osseux sont moins importants.
En dehors du fait que l'intervention ne dépasse pas une demi-heure, que celle-ci ait lieu sous anesthésie locorégionale, il faut également signaler que les douleurs résiduelles ne sont rien en comparaison de ce que supporte le patient quand il subit un traitement chirurgical classique de hernie discale.
En effet, pour soulager ce type de douleurs (le plus souvent insupportables), les médecins ordonnent des antalgiques (antidouleurs) parfois puissants (dérivés de l'opium) et généralement durant une longue période (parfois trois semaines).
Avec la technique micro-chirurgicale, non seulement le patient reprend relativement rapidement ses activités habituelles (15 jours environ), mais la rééducation est beaucoup moins longue.
Si l'efficacité est la même pour les deux procédés, la technique mini invasive permet de réduire énormément l'intensité des douleurs survenant au niveau du rachis lombaire.
Enfin, pour certain cela a de l'importance, la cicatrice inhérente à l'intervention à minima (traitement micro-chirurgical) est beaucoup moins importante que la cicatrice qui a nécessité une incision sur plusieurs centimètres de longueur pour la technique classique.
Alicaments : vrais bienfaits ou fausses promesses ?
Apparu dans les années 1990, le mot alicament est issu de la contraction des mots « aliment » et « médicament ». Il ne s'agit pas d'une réalité scientifique : sur le plan réglementaire, un produit appartient soit à la famille des aliments, soit à la famille des médicaments, mais ne peut être les deux à la fois (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments).
Probiotiques, fibres, antioxydants, oméga 3, acides gras, ... L’industrie agroalimentaire nous promet cependant, grâce à des produits "enrichis", santé et plaisir dans un yaourt, une boisson, des céréales, ou un pot de margarine…
Qu’en est-il vraiment de ces promesses ?
Une récente étude de l’EFSA (Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire) se propose d’aider le consommateur à démêler le vrai du faux.
Alicaments et compléments alimentaires sous surveillance européenne
Dès 2006 et devant la multiplication de ces nouvelles gammes de produits, le Parlement européen a légiféré. Il a demandé aux industriels de l’agroalimentaire de justifier les prétendues vertus qu’ils apposent sur les emballages des alicaments et des compléments alimentaires, et dans leur communication. En 2008, l’EFSA a entrepris de contrôler les 4637 allégations sur ces produits de plus en plus présents sur le marché européen.
Les résultats concernant les 2758 allégations de santé se rapportant spécifiquement aux alicaments ont été publiés à l’été 2010. Les conclusions concernant les compléments alimentaires seront quant à elles publiées plus tard.
80% de ces allégations ont été jugées infondées
Dossiers incomplets, manque d’arguments crédibles, définitions imprécises du produit ou des bénéfices imputés ont amené l’EFSA à conclure que, pour 80% des dossiers qui lui avaient été soumis, aucun lien de cause à effet n’avait pu être établi entre les produits commercialisés et leurs prétendus bénéfices pour la santé.
6 grandes familles d’alicaments ont été contrôlées
L’EFSA a rendu publiques ses conclusions au travers 341 dossiers correspondants à des types de produits ou d’effets. Ces résultats, assez malaisés à exploiter tels quels, peuvent être synthétisés en 6 grandes catégories d’alicaments.
- Les probiotiques : aucun effet démontré
L’EFSA se montre très critique à leur égard et affirme qu’aucun effet bénéfique sur l’Homme n’a pu être démontré à ce jour.
- Les produits amaigrissants : seuls quelques substituts de repas tirent leur épingle du jeu
A l’exception du glucomannane (fibre soluble) et des substituts de repas affichant moins de 250 calories, aucune de ces substances n’a réussi à démontrer son efficacité dans la lutte contre les kilos en trop.
- Les « bonnes graisses » : globalement utiles
- Les fibres : elles ne sont pas toutes efficaces
- Les antioxydants : aucune preuve de leur efficacité
- Les alicaments destinés aux enfants : ils ne remplacent pas une alimentation équilibrée
La Commission Européenne n’a pas tardé à réagir, en rejetant toutes les allégations de santé ayant été réfutées par l’EFSA. Ainsi, lait infantile aux probiotiques ajoutés et autres compléments alimentaires enrichis en acide gras ont dû revoir leur copie. Tout comme un célèbre chocolat qui n’a pas réussi à prouver qu’il aidait les enfants à grandir ...
La conclusion de l’EFSA sur ce chapitre est que les parents doivent veiller à varier et équilibrer l’alimentation de leurs enfants, seuls véritables garants d’un bon développement.
Vers une réforme de l’étiquetage
Le 6 juillet 2011, une loi a été votée par le Parlement européen, et sera applicable dès 2014.
Cette nouvelle loi va rendre obligatoire l’affichage de 7 informations nutritionnelles sur les emballages alimentaires. Devront désormais figurer la valeur énergétique, mais aussi les quantités de sucre, de sel, de glucides, de protéines, de lipides et d’acide gras saturés. Figureront aussi des indications sur l’éventuelle présence d’allergènes.
Concernant la viande de porc, de mouton ou de volaille, le pays d’origine devra être indiqué, comme cela est déjà obligatoire pour la viande bovine.
Rien ne remplace une alimentation équilibrée
Une alimentation variée et équilibrée, des rations adaptées à l'âge et à l'activité, voilà les règles de bon sens qui doivent prévaloir au quotidien.
Bien sûr, consommer des yaourts, des fruits et légumes, des céréales, ... font partie des bonnes habitudes à adopter. Mais faut-il pour autant choisir les produits "enrichis" qui nous promettent une action sur notre santé ?
N'oublions pas que si un aliment avait un effet thérapeutique, il passerait alors dans la catégorie "médicament" et serait dès lors identifié comme tel.