Pages

mercredi 11 avril 2012

Risque de cancer de la prostate à 20 ans ?

Bonjour,

Je ne peux pas donner de réponse précise mais le cas de cancer de la prostate est rare avant 40-50 ans.

Les symptômes tels que la sensation de vessie encore non vidée, et le besoin d'uriner la nuit font bien partie de ceux du cancer de la prostate mais pas seulement, il y a également l'augmentation du volume de la prostate, du sang dans les urines ou le sperme... Les douleurs osseuses n'en font pas partie.

Je pense que dans ces cas là, il vaut mieux aller consulter son médecin car il peut très bien s'agir d'un autre problème bénin (problèmes urinaires, infections...).

J'ai trouvé sur le site de l'Assurance Maladie quelques infos, j'espère qui te seront utiles: http://www[…]state.html


View the original article here

Se protéger des moustiques avec les huiles essentielles


A lire également :

se proteger moustiques avec huiles essentiellesQuestions & Réponses sur les huiles essentiellesTous nos articles sur les huiles essentiellesSe protéger des moustiques avec les huiles essentielles


Les piqûres de moustiques sont souvent désagréables. Cependant, avec les huiles essentielles, il est possible d’éloigner efficacement les moustiques puisqu’elles possèdent des propriétés répulsives contre les moustiques et les insectes. Attention : ces solutions ne doivent être ni réalisées ni utilisées en présence d’enfants de moins de 6 ans, de femmes enceintes et allaitantes, de personnes asthmatiques et de personnes épileptiques.



Pour réaliser une diffusion répulsive contre les moustiques, vous avez besoin de deux huiles essentielles :

l’huile essentielle de citronnelle ;l’huile essentielle de géranium.Choisissez ensuite un diffuseur qui ne chauffe pas les huiles puisque sous l’action de la chaleur, les huiles essentielles se dénaturent.versez un peu d’eau dans le diffuseur ;versez 20 gouttes d’huile essentielle de citronnelle ;versez 20 gouttes d’huile essentielle de géranium.Vous pouvez réaliser cette diffusion pendant 15 minutes juste avant le coucher ou alors 15 minutes par heure toutes les heures pendant la journée.

Vous avez besoin de trois huiles essentielles :

l’huile essentielle de géranium ;l’huile essentielle de lavande aspic ;l’huile essentielle d’eucalyptus citronné biologique.Dans la mesure où les huiles essentielles ne s’appliquent pas pures sur la peau, vous avez besoin d’une huile végétale qui sert de base pour l’application des huiles essentielles sur le corps. Prenez, par exemple, l’huile végétale de noyau d’abricot qui est très pénétrante.Versez directement dans votre flacon d’huile végétale de noyau d’abricot de 50 millilitres :10 gouttes d’huile essentielle de géranium ;5 gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus citronné ;10 gouttes d’huile essentielle de lavande aspic.A noter : l’huile essentielle de lavande aspic permet également la cicatrisation de la piqûre.

Votre spray anti-moustiques est prêt. Secouez-le énergiquement et appliquez-le directement sur les parties découvertes du corps juste avant le coucher ou toutes les heures pendant la journée.Ce spray agit avant mais aussi après piqûre. Appliquez-le directement sur les zones piquées.


Retrouvez en vidéo sur MinuteFacile.com comment se protéger des moustiques avec les huiles essentielles : 

Retrouvez Minute Facile sur Google+


View the original article here

Pied diabetique : les malades doivent consulter un podologue au moins une fois par an

Br?ves m?dicales sur le même thème Diab?te complications | Examens avantages |

Pied diab?tique : les malades doivent consulter un podologue au moins une fois par an

Les patients atteints de diabète doivent consulter un podologue au moins une fois par an pour un examen de routine, de manière à prévenir d'éventuels plaies et traumatismes des pieds auxquels ils seraient insensibles, recommandent les podologues.

Le diabète entraîne une artériopathie et une neuropathie qui fragilisent les pieds. L'atteinte des nerfs, à l'inverse de celle des artères, diminue la sensibilité et la perception de la douleur et peut, de ce fait, retarder voire empêcher la prise de conscience par le patient diabétique des maux dont il souffre, ont rappelé des podologues réunis à l'Assemblée nationale pour les 2èmes Assises de la santé du pied organisées par l'Union française pour la santé du pied et la podologie (UFSPP).

Plus le diabète est ancien et mal équilibré, plus le risque de complications augmente : les pieds deviennent moins sensibles au toucher, à la chaleur, au froid ou à la douleur de cause externe. Des modifications des points d'appui peuvent apparaître, ainsi que des déformations indolores des orteils ou des os du pied.

Ces troubles insidieux peuvent mettre les pieds des patients diabétiques en danger (coupures, infections, ...), mettent en garde les podologues, recommandant aux malades, quelle que soit l'antériorité de leur diabète, d'adopter une attitude préventive et de se rendre au moins une fois par an chez un podologue.

Outre le bilan podologique au cours duquel il évalue le risque et l'évolution de la gradation de l'état du patient par rapport aux risques de complication, le podologue réalise les soins nécessaires pour lutter contre l'hyperkératose, la couche cornée de la peau ou l'épaississement de l'épiderme.

Par ailleurs, il vérifie les appuis, regarde si la statique est bonne et propose les corrections si nécessaire.

R?alis? et valid? en collaboration avec des professionnels de la sant?
sous la direction du Dr Anne Richardsur le même thème Diab?te complications | Examens avantages |


View the original article here

Pre-diabete : l'acarbose diminue la glyc�mie post-prandiale sans retarder la progression en diab�te de type 2

"Parce que l'hyperglycémie post-prandiale est une anomalie précoce du diabète de type 2, la toxicité du glucose qui en résulte est un médiateur potentiel de l'altération progressive de la fonction des cellules bêta", expliquent les auteurs, le Dr Sue Kirkman de l'Indiana University School of Medicine à Indianapolis et ses collègues.

Ces chercheurs ont donc émis l'hypothèse que traiter l'hyperglycémie pourrait prévenir ou retarder le développement d'un diabète.

Pour le déterminer, l'équipe a réparti 219 adultes présentant une glycémie à jeun comprise entre 1,05 et 1,4 g/l et une glycémie 2 heures après le repas supérieure ou égale à 2 g/l en deux groupes traités par un placebo ou 100 mg d'acarbose trois fois par jour après les repas.

Au bout d'un et deux ans de traitement, la glycémie post-prandiale du premier et du second repas a significativement diminué dans le groupe acarbose, de même que l'aire sous la courbe de la glycémie et l'hémoglobine glyquée (marqueur du contrôle glycémique sur 3 mois).

Au bout de cinq ans, une hyperglycémie franche (deux valeurs consécutives de glycémie à jeun supérieures à 1,4 g/l) a été observée, moins fréquemment dans le groupe acarbose, mais la différence n'était pas significative par rapport au placebo (29% versus 34%).

De même, les mesures de la fonction des cellules bêta du pancréas (sécrétant l'hormone qui régule la glycémie, à savoir l'insuline) et de la résistance à l'insuline ne différaient pas entre les deux groupes, dans lesquels un tiers des patients a finalement développé un diabète de type 2.

Les chercheurs soulignent toutefois que pour les patients présentant une glycémie à jeun inférieure à 1,26 g/l, la progression vers un diabète de type 2 était moins fréquente dans le groupe acarbose (27% vs 50%). Ceci indiquerait que "lorsque la glycémie à jeun excède 1,26 g/l, il pourrait être trop tard pour remédier à l'altération de la fonction des cellules bêta", commentent les auteurs.

De plus, "l'hyperglycémie post-prandiale pourrait ne pas être nécessairement le premier facteur entraînant un dysfonctionnement des cellules bêta", concluent-ils. D'autres facteurs (génétiques, liés au mode de vie ou à la sécrétion d'acides gras libres post-prandiaux) pourraient être davantage déterminants sur la progression du diabète, font-ils observer.

(Diabetes Care 2006, vol.29, n°9, p.2095-2101)

R?alis? et valid? en collaboration avec des professionnels de la sant?
sous la direction du Dr Anne Richard

Dernière modification le 10/06/2011


View the original article here

Prevention de l'arthrose

On ne peut pas guérir l’arthrose mais la prise en charge médicamenteuse et non médicamenteuse ralentit son évolution.

L'objectif principal est de diminuer la douleur et l’inflammation, et d’améliorer la qualité de vie de la personne atteinte d’arthrose.

Jusqu’à maintenant, il est difficile d’aboutir à une guérison complète de l’arthrose car sa cause n’est pas définie. Les traitements actuels seront adaptés aux signes présentés et aux besoins de chaque malade dans le but de ralentir l’évolution de la maladie et d’améliorer la qualité de vie du patient.

Le traitement de l’arthrose se base sur trois principes :

Soulager la douleur
Il est primordial de soulager la douleur car cette dernière incite davantage la personne à s’immobiliser.

Maintenir la fonction articulaire
Il faut protéger les articulation des surcharges, en retrouvant ou en maintenant un poids-santé. Adopter une statique correcte permet de prendre soin de ses articulations

Maintenir l’autonomie
Il faut éviter de laisser totalement l’articulation au repos en pratiquant des exercices physiques réguliers, mais nécessitant peu d’appui articulaire (vélo, natation) pour augmenter la force musculaire.

Id?es re?ues, doutes, incompr?hensions, questions pratiques... Les m?decins connaissent bien les interrogations des patients au quotidien. Voici les plus fr?quentes et leurs r?ponses simples, pr?cises, pour vous aider ? y voir plus clair.

Consultez nos paroles d'experts

View the original article here

vendredi 6 avril 2012

Allergies : etat des lieux

La prévalence des allergies est actuellement de 25% à 30%, selon les études épidémiologiques de l’INSERM. Celle des différentes formes d’allergies a nettement augmenté en 20 ans.

Le nombre de cas d’allergies évoluerait avec les changements issus essentiellement de notre mode de vie et des facteurs environnementaux, parmi lesquels les facteurs aériens sont surtout mis en cause :

Exposition accrue aux acariens dans les maisons due au confinement et à l’augmentation de la température.
C'est le cas de certaines ville de France avec un climat chaud et humide : Bordeaux, Toulouse, Marseille .

Exposition accrue aux poils des animaux domestiques surtout pour les pays nordiques.

Augmentation de la plantation de certaines espèces de plantes (cyprès) dans certaines régions.

Exposition accrue aux moisissures atmosphériques dans les régions humides.

Augmentation du tabagisme.

Exposition accrue à la pollution atmosphérique par les gaz d’échappement des voitures dans les pays à fort trafic routier (Japon, Chine,….).

Sources : *INSERM


View the original article here

Allergies et diagnostics

Lorsqu’une allergie est suspectée, il est conseillé de consulter un médecin pour établir un diagnostic précis sur les signes et les allergènes en cause.

La première étape est de consulter le médecin traitant à qui on doit fournir toutes les informations nécessaires sur les signes dont on souffre pour faciliter le diagnostic. A lui d’orienter le patient vers l’allergologue.

L’allergologue effectuera une enquête allergologique afin d’identifier précisément les allergènes incriminés et ensuite d’établir des mesures de prévention et de traitement des réactions allergiques.

L’interrogatoire est une étape importante dans l’orientation du diagnostic des allergies en mentionnant
- Le motif de la consultation
- la description des signes et leur évolution depuis le début jusqu’au jour de la consultation
- les antécédents personnels et familiaux d’allergie (parents, oncles et tantes, cousins)
- l’environnement du patient : la description de l’habitation, la présence d’animaux, la présence de plantes, la présence de moquette ou de couettes, ou de plumes d’oreillers,….
- Les habitudes alimentaires
- Le mode de vie : les déplacements professionnels, les loisirs…
- Les traitements médicamenteux en cours

L’allergologue effectue ensuite des tests cutanés sur le bras ou dans le dos dans le but d’identifier les allergènes. Les tests cutanés consistent à provoquer un contact cutané avec plusieurs allergènes et à attendre ensuite la réaction qui va suivre. L’apparition de rougeurs et/ou de gonflements au niveau du point de contact confirme la sensibilité allergique à la substance testée. Ces tests cutanés sont utilisés dans le but de connaître de façon rapide et indolore l’allergène responsable et peuvent être effectués même chez les jeunes enfants.

Il existe plusieurs types de tests cutanés. (Les antihistaminiques doivent être arrêtés au moins 3 jours avant les tests cutanés pour éviter de fausser les résultats).

Le prick test
Consiste à déposer une petite goutte de l’allergène suspecté sur la peau du patient. Ensuite, le médecin pique à travers cette goutte. Après 15 à 20 minutes, si une réaction apparaît au niveau du point de piqûre (démangeaison, rougeur ressemblant à une piqûre de moustique), l’allergène testé est celui qui a causé les signes d’allergies chez le patient.

Le patch test
Recommandé par le médecin essentiellement dans la recherche d’allergène responsable d’un eczéma. Le patch test, sous forme d’autocollant, contient l’allergène suspecté (mais en faible quantité), et sera appliqué sur la peau de la partie supérieure du dos du patient durant 2 jours. Si la réaction est positive (rougeur, démangeaison, gonflement localisé), l’allergène testé est donc à l’origine de l’eczéma de contact du patient.

L’intradermoréaction
C'est une technique essentiellement utilisée pour tester les médicaments ou les venins. Elle consiste à injecter l’allergène (le médicament ou le venin testé est dilué et administré en très petite quantité) au niveau de la peau de la partie externe du bras. Un test positif se manifeste par une rougeur, un gonflement, une démangeaison au niveau de la région d’injection.

L’allergie peut également être confirmée par des tests sanguins effectués en laboratoire. Ils consistent à rechercher dans le sang du patient des anticorps dirigés contre l’allergène suspecté. La présence de ces anticorps confirme la sensibilité allergique du patient à la substance testée. L’analyse sanguine est effectuée dans le cas où les tests cutanés ne donnent pas de résultat suffisamment précis et ne nécessite pas d’être à jeun.

Devant des difficultés de diagnostic, il existe des tests de provocation orale ou nasale, mais les risques de complications liés à ces tests justifient qu’ils ne soient utilisés qu’en dernier recours et dans un cadre rigoureusement contrôlé.


View the original article here

Le regime anti-cholesterol

Le r?gime anti-cholest?rol

Un régime adapté constitue une étape importante pour diminuer le taux de cholestérol sanguin. Il consiste à s’adapter à de nouvelles habitudes alimentaires en diversifiant son alimentation afin que l’apport en lipides constitue moins de 30-35 % de la ration calorique totale.

Le premier principe est de limiter les aliments riches en graisses saturées d’origine animale et de favoriser les produits contenant des graisses insaturées d’origine végétale.

Il est également conseillé de manger des aliments cuits à l’eau ou à la vapeur, au four ou au grill.

Une consommation suffisante de céréales complètes, ainsi que de fruits et légumes est également requise. Les fibres qu’ils contiennent permettent de limiter l’absorption intestinale du cholestérol, et leur pouvoir antioxydant permet de luter contre l’oxydation des LDL.

Dans ce type de régime, il est conseillé de maintenir le rythme des repas à 3 par jour, à des heures régulières, en respectant un temps de repas minimum de 20 minutes.

L’hydratation journalière est également importante (1,5 litres par jour au minimum).

Les aliments de base...


...à favoriser

- Légumes et légumes secs : Céréales complètes, légumineuses, orge, avoine, seigle, ai
- Huiles : olive, tournesol, soja, colza, noix, margarine
- Lait écrémé, yaourt
- Fruits
- Poissons maigres et gras
- Œuf
- Viandes blanches
- Jambons crus ou cuits

... à limiter

- Viandes rouges, conserves de viande, viandes grasses
- Abats, charcuterie, lard
- Chocolat
- Lait entier, fromages, beurre

... à éviter

- Friture
- Alcool
- Biscuits, gâteaux, pâtisserie, crèmes glacées, viennoiseries
- Plats préparés

Teneur en cholestérol des aliments courants : 


Source : La table nutritionnelle des aliments, table CIQUAL 2008, Anses.

Remarques sur les liens existants entre l’hypercholestérolémie et les œufs :

Il est connu que des taux élevés de cholestérol dans le sang sont associés à une incidence accrue de maladies cardiovasculaires. La plupart des recommandations nutritionnelles pour le traitement de l’hypercholestérolémie tendaient donc par le passé à limiter la consommation de jaunes d’œufs, considérés comme trop riches en cholestérol, à seulement 2 ou 3 par semaine.

Ces recommandations ont été remises en question : des études sérieuses ont observé, il y a déjà plus de 10 ans, une faible relation entre le cholestérol alimentaire et l’incidence des maladies cardiovasculaires. Une consommation d’un œuf par jour n’a ainsi aucun impact significatif sur le risque cardiovasculaire. Une étude prospective a été réalisée chez 117 000 hommes et femmes en bonne santé*. Selon celle-ci, le risque cardiovasculaire n’est pas plus élevé chez ceux qui consomment moins d’un œuf par semaine que chez ceux qui en consomment plus d’un par jour.

Plusieurs autres publications médicales indiquent que le contrôle des lipides sanguins est mieux atteint en diminuant la consommation des acides gras trans et saturés, au lieu d'éliminer le cholestérol d’origine alimentaire**. Dès lors, la consommation d’un œuf par jour est tout à fait acceptable, même pour des personnes hypercholestérolémiques, si la consommation des aliments riches en acides gras saturés, tels que les fromages, la crème, le beurre et les viandes rouges, est limitée***.

Sources :

* Hu FB, Stampfer MJ, Rimm EB et al. A prospective study of egg consumption and risk of cardiovascular disease in men and women. JAMA. 1999;281:1387-1394.
** Howell WH, McNamara DJ et al. Plasma lipid and lipoprotein responses to dietary fat and cholesterol: a meta-analysis. Am J Clin Nutr. 1997;65:1747-1764.
*** Krauss RM, Eckel RH, Howard B et al. AHA Dietary Guidelines: revision 2000: A statement for healthcare professionals from the Nutrition Committee of the American Heart Association. Stroke. 2000;31:2751-2766.

R?alis? et valid? en collaboration avec des professionnels de la sant?
sous la direction du Dr Christian Recchia

Dernière modification le 06/01/2011


Cholesterol et alimentation, Hypercholest?rol?mie d?finition, Regime dukan, Nutrition

Id?es re?ues, doutes, incompr?hensions, questions pratiques... Les m?decins connaissent bien les interrogations des patients au quotidien. Voici les plus fr?quentes et leurs r?ponses simples, pr?cises, pour vous aider ? y voir plus clair.

Consultez nos paroles d'experts

View the original article here

Les localisations arthrosiques

Au niveau des cervicales, les os de la nuque sont atteints. Cette affection, qui se nomme cervicarthrose, est fréquente après 40 ans et généralement favorisée par l’existence de malformations congénitales ou d’antécédents de coups au niveau de la nuque. Elle se manifeste par des douleurs apparaissant en fonction de la position du cou qui durent plusieurs semaines voire plusieurs mois.

Au niveau du dos, les vertèbres et la région lombaire sont touchées. Cette affection se nomme lombarthrose. Elle aussi est très fréquente à la quarantaine. Elle est causée surtout par la fatigue et se manifeste par poussées entrecoupées de périodes de rémission.

Au niveau de la hanche, elle se nomme coxarthrose. Elle atteint aussi bien les femmes que les hommes après 50 ans. Son principal facteur favorisant est l’obésité. Le sujet aura des difficultés à ramasser des objets par terre, à monter et descendre les escaliers ou à enfiler ses chaussettes. La coxarthrose a des conséquences sur l’activité sexuelle et, à un stade plus évolué, elle devient invalidante.

L'arthrose du genou, fréquente après 50 ans, est favorisée par l’obésité, les antécédents traumatiques du genou (fractures osseuses), les activités sportives et professionnelles intenses, entraînant un surmenage de l’articulation du genou.

Il s’agit d’une localisation de l’arthrose particulièrement fréquente chez les femmes de plus de 50 ans et source de douleurs et de déformations. L’arthrose des doigts est généralement la conséquence d’activités manuelles intenses et répétitives. Des facteurs héréditaires sont souvent retrouvés dans l’arthrose des doigts.

L’arthrose de la base du pouce est souvent due à des gestes répétitifs au niveau du pouce chez une personne prédisposée à l’arthrose. La douleur se manifeste par poussées et aboutit à une diminution progressive de la force du pouce (difficulté à saisir des objets, maladresse au cours de certains mouvements) puis à une déformation.


View the original article here

Les mesures curatives de l'allergie

Le traitement médicamenteux des allergies est adapté à la forme et aux manifestations de chaque allergie.

Les anti-histaminiques
Ce sont des médicaments qui bloquent la libération d’histamine (substance déclencheuse des réactions allergiques) par les cellules immunitaires. Ces médicaments sont notamment utilisés dans la rhinite allergique, la conjonctivite allergique, l’urticaire, l’eczéma. L’effet secondaire le plus connu des anti-histaminiques est la somnolence et leur utilisation nécessite une ordonnance médicale et des précautions particulières, surtout pour les femmes enceintes.

Les corticoïdes
Ils sont prescrits par les médecins en cas de réactions allergiques plus graves et sont utilisés contre pour diminuer les inflammations (asthme allergique, rhume de foin, œdème de Quincke). Ces traitements ne sont pas sans effet secondaire : les corticoïdes par voie orale à long cours entraînent une prise de poids tandis que les pommades ou crèmes à base de corticoïdes fragilisent la peau.

Les anti-leucotriènes
Ils sont également prescrits pour diminuer les signes de l’allergie ; les effets secondaires ne sont pas déterminés mais ces médicaments s’appliquent essentiellement en cas de grossesse et chez les enfants. Les anti-leucotriènes sont fréquemment utilisés actuellement dans l’asthme et la rhinite allergique.

A ces médicaments peuvent s‘ajouter des médicaments spécifiques de la manifestation allergique.

Dans le traitement de l’asthme : les bronchodilatateurs (pour dilater les bronches), les médicaments mucolytiques (pour fluidifier les sécrétions bronchiques), les anti-IgE en cas d’asthme sévère et les antibiotiques en cas d’infection bactérienne à la suite d’une réaction allergique.

Le nettoyage du nez et des yeux est recommandé dans le cas de la rhinite allergique et de la conjonctivite allergique ; on utilise fréquemment le sérum physiologique.

La désensibilisation fait partie de l’immunothérapie et agit directement sur le système immunitaire ; elle est particulièrement effectuée en cas d’intolérance aux médicaments administrés ou en cas d’aggravation des signes des allergies. La désensibilisation est actuellement recommandée par l’Organisation Mondiale de la Santé pour faire partie de la prise en charges des allergies.

Comment ça marche ?
La désensibilisation est une méthode de traitement qui consiste à administrer au patient des doses progressivement croissantes d’allergènes dans le but d’habituer l’organisme, pour qu’il devienne moins sensible à l’allergène, qui aura été préalablement identifié par un test cutané ou un test sanguin.
L’administration des allergènes peuvent se faire soit par injection (hebdomadaire) soit par des gouttes sous la langue (quotidiennement et à jeun sauf pour la désensibilisation aux venins).

Pendant combien de temps ?

La désensibilisation dépend de l’état de santé du malade. Mais en moyenne, elle devrait durer entre 3 à 5 ans, impliquant une grande volonté d’engagement du malade dans le traitement. Et plus la désensibilisation est débutée précocement, plus son efficacité est grande, en réduisant également les risques d’apparition d’autres allergies.

Des effets secondaires ?

Il existe un risque de réaction locale au niveau des points d’injection (rougeur, douleur, petit gonflement) et quelques manifestations comme éternuements et irritation du nez, de la toux, des démangeaisons mais sans gravité.


View the original article here

dimanche 1 avril 2012

Choisir un modèle de lunettes en fonction de son visage

La morphologie du visage influence le choix de la forme des lunettes.

Pour les visages ronds
Pour créer une harmonie, on choisira des lunettes rondes, qui vont s'effacer dans le visage.
Pour les personnes plus extraverties, qui souhaitent mettre en avant leur front ou leur chevelure et qui revendiquent le port de lunettes, on pourra opter pour une forme papillon, plus originale.

Pour les visages carrés
Pour arrondir le visage, les lunettes ovales assez grandes sont envisageables.
Pour accentuer un trait de caractère, on choisira une forme rectangulaire.


View the original article here

Comment atténuer ses vergetures ?

La meilleure façon d’atténuer les vergetures, c’est d’utiliser des préparations naturelles que tu peux préparer toi-même chez toi.

Moi par exemple, pour obtenir plus de résultats, j’ai utilisé trois méthodes que j’ai alternées chaque jour. Le premier jour, j’ai appliqué sur mes vergetures un mélange de demi-avocat, d’une cuillère à soupe de jus de citron et d’une cuillère à soupe de miel. Le deuxième jour, j’ai massé la partie disgracieuse avec de l’huile d’amande douce (il parait que la vitamine E qu’elle contienne est très utile pour estomper les vergetures). Et le troisième jour, j’ai utilisé du blanc d’œuf que j’ai laissé sécher un moment sur les vergetures puis rincé à l’eau froide. Et ainsi de suite.

J’ai fait cela pendant à peu près 15 jours et je peux te dire que j’ai été satisfaite du résultat.

En revanche, je n’ai pas du tout confiance en ces crèmes miracles. Non seulement, elles sont chères mais aussi inefficaces.


View the original article here

Comment enlever de faux ongles

La résine fond à l'acétone. Il vous suffit donc de tremper vos ongles dans un bol en verre contenant de l'acétone pendant 15 minutes.

Chaque faux-ongle devrait facilement se détacher et il ne restera plus qu'à limer les résidus de résine sur vos ongles.

Autre technique :

Prenez des petits morceaux de coton que vous imbiberez d'acétone. Entourez chaque ongle de ce coton puis recouvrez chacun d'eux avec un peu de papier aluminium (pour limiter l'évaporation de l'acétone) pendant 30 minutes.

Procédez ongle par ongle : enlever le coton recouvrant l'ongle, retirez le faux-ongle puis limez doucement, jusqu'à ce que la résine s'en aille.


Des produits sont également en vente dans des magasins de cosmétiques, spécialement conçus pour enlever les faux ongles.


View the original article here

Comment manger moins salé ?

60 % du sel total consommé se trouve dans les aliments que nous consommons. Les 40 % restants résultent de nos ajouts pour cuire ou assaisonner.

Le sel est présent dans tous les produits transformés dont :

le pain ;les plats préparés ;les conserves ;le fromage ;les pizzas ;les sauces ;les eaux.

Il est reconnu que les fabricants industriels ont tendance à saler excessivement leurs préparations afin de rehausser le goût, d'augmenter le poids des produits (rétention d'eau) et pour conserver les aliments.

Nous sommes très tôt habitués au goût du sel (présent dans les petits pots pour bébés) mais nous pouvons tout aussi vite nous en déshabituer.

Lisez les étiquettes sur les produits et notamment la teneur en sodium. Pour vous y retrouver, le sel contient 25 % de sodium. 500 mg de sodium correspondent déjà à 2 g de sel.


View the original article here